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の the game has just begun. (Mason).

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の the game has just begun. (Mason). Vide
MessageSujet: の the game has just begun. (Mason).   の the game has just begun. (Mason). Icon_minitimeDim 1 Jan - 22:13

The way you make me feel.



« RIVER ! » Que je crie du salon, assise face à l’écran de télévision où des soaps à la con sont en train de passer. Le genre de série où la même femme épousera quinze mecs différents pour avoir autant de gosses. Je trouve ça pathétique mais y a rien d’autres alors on fait avec. Mon meilleur ami ne semble pas répondre, sûrement encore endormi après sa soirée d’hier. Je suis plus qu’avec lui à l’appartement. Sidney s’est tirée – envolée. Je n’ai pas de nouvelles et ce n’est pas faute d’en avoir réclamé. Ça me rend dingue de savoir qu’elle a pu partir comme ça sans même se retourner, sans même tenter de comprendre ma position plus que délicate. Je l’aimais – c’est encore le cas. Si elle m’avait laissé du temps, elle aurait eu ce qu’elle obtenait, une histoire sérieuse avec moi. Je ne pouvais pas tout envoyer chier comme ça et encore moins risquer de perdre définitivement mes parents. Je vais continuer ma vie sans elle, à contre cœur, sans avoir vraiment eu mon mot à dire. Peut-être qu’elle reviendra, peut-être pas. Elle me manque, tout le temps et pourtant une part de moi la déteste de s’être tirée comme si rien n’avait d’importance, comme si au fond notre amitié était secondaire. Je laisse échapper un soupire avant de me lever ouvrant la porte de la chambre de River. Il rechigne déjà et cela ne s’accentue qu’un peu plus quand j’ouvre brutalement les rideaux, laissant les rayons du soleil entrer dans la pièce. « Hm » Qu’il souffle alors que je me retourne, sautant sans ménagement sur le lit pour venir m’étaler près de lui. Le faire chier est un de mes passes temps favoris. En prenant du recul, c’est le seul ami qui ne m’a pas abandonné. On ne parle pas réellement du départ de Sidney. Je crois qu’il sait que c’est un sujet sensible pour moi alors il n’a pas envie de me voir pleurer ou crier un tas d’insultes en espagnol. « Lèves ton cul Visconti ! Je suis seule au salon et je me fais chier. » Il me balance un coussin à la gueule espérant sûrement que je me taise et sorte de la pièce, mais ce ne sera pas le cas. Je suis calée dans son lit et je ne compte pas me casser maintenant. « Madds, t’es chiante. Tu ne veux pas sortir ou simplement me laisser dormir ? » Qu’il me dit en continuant de jouer au petit garçon qu’on réveille brutalement. Il me fait rire et il a pas l’air d’apprécier que je me foute de sa gueule puisque il me frappe l’épaule avant de me faire retomber sur le lit en commençant à me chatouiller. « ARRETES ! Je te jure que je vais te faire mal ». Il rigole, estimant sûrement que je ne fais pas le poids, sauf que mes nombreuses heures passées au karaté m’ont appris à sérieusement me défendre. Il finit par cesser avant de me regarder esquisser un sourire. Il se redresse en se mettant contre la tête de lit, me fixant sincèrement. « Je suis heureux de te voir rire à nouveau ». Je baisse la tête durant quelques secondes. Faut dire qu’en effet les derniers temps, mon comportement n’était pas le plus joyeux ou optimiste. Je n’en parle pas trop avec lui parce que je n’en ai pas envie, parce que je n’ai pas envie de le plomber avec mes histoires. « La vie continue, c’est elle qui a décidé de se casser » Que j’ajoute amèrement. Il finit par se lever, cherchant un t-shirt dans sa commode avant de se retourner vers moi en souriant légèrement. « Elle finira par revenir tu sais ». Il a peut-être raison. Sûrement qu’un jour, elle se reviendra ici en pensant que rien n’a changé et que je l’ai gentiment attendu, sauf que ça ne sera clairement pas le cas. « Mais ce sera trop tard » Que je dis d’une voix beaucoup plus froide avant de partir au salon préférant éviter ce sujet de conversation.

« On déjeune ensemble à 13h, passes au bureau ». Un message de mon – fiancé. Je souris en coin parce que je sais très bien ce que ce message signifie. Il a envie de baiser, il me propose un déjeuner pour faire les choses bien alors que sa seule envie sera de me prendre…fort. Ma relation avec lui est simple. On fait semblant de s’aimer, d’être pressés de se marier et on se donne mutuellement du plaisir. Au début, ça ne me disait vraiment pas de me lancer dans un tel truc, finalement je ne le regrette pas. Mes parents sont contents, mon entre cuisse aussi et je ne parle même pas de la queue de Mason. Je file dans ma chambre, enfilant une robe noir légère. J’aime mettre ce genre de tenue quand je vais le voir au bureau, d’une parce que sa secrétaire crève de jalousie, de deux parce qu’il ne met pas longtemps à me la retirer et de trois parce que…je suis foutrement bonne. J’ébouriffe mes cheveux, les frisant quelque peu parce que je sais que mon fiancé adore ça. Sûrement le côté tigresse qu’il doit apprécier. « RIVER JE ME CASSE ! » Que je crie en prenant mon sac avant de quitter l’appartement. Tout le monde nous prend vraiment pour un couple avec Mason, sauf River, parce qu’il connait la vérité, sinon les autres ont tous crus à l’histoire du coup de foudre de l’employé et de la fille du patron. Ils sont tellement cons pour gober tout ce qu’on raconte, moi ça m’arrange parce qu’au moins mes parents n’ont aucun doutes quant à la véritable portée de mes sentiments pour lui. Je n’ose même pas imaginer la gueule de mes vieux s’ils venaient à découvrir, qu’en fait tout ça n’est qu’une vaste mascarade. Ma mère pleurerait sa vie et mon père lui aurait bien envie de me tuer. Après quelques minutes de route dans ce taxi, j’arrive devant la société de mon père. Il est connu ici à Surfer Paradise et c’est aussi pour cela que je ne peux pas me permettre d’étaler la véritable vie amoureuse – chaotique au grand jour. Je pousse les grandes portes de Waybrigh industries avant de monter à sixième étage là où bosse Mason. Je me dirige vers son bureau naturellement. « Mademoiselle, Monsieur Meyers est en réunion téléphonique actuellement ». La voix stridente de sa connasse de secrétaire me sort de mes pensées. Elle ne m’aime pas, c’est une évidence. Je suis certaine qu’elle crève d’envie d’encaisser des coups de bassin de la part de Mason, sauf que vu sa gueule c’est plutôt des lancés de tomates qu’elle devrait se prendre. Je me dirige vers le bureau de cette dernière, un sourire cynique et hypocrite à souhait. « J’en ai rien à foutre okay ? C’est mon fiancé et si j’ai envie de le voir, je le verrais » Elle se recule légèrement me lançant un regard meurtrier presque alors que moi je continue de me marrer. J’adore la pousser à bout de la torturer dès que je me pointe ici. J’y peux rien si elle est moche et si la seule chose qui doit lui procurer du plaisir parfois, c’est un canard vibrant. « Cela ne vous donne pas tout les droits » Qu’elle ajoute sérieusement. Oh que si ça me donne tous les droits. Je ne suis pas n’importe qui, je suis Maddison Waybright, la fille du grand patron et la fiancée de Meyers. Et tant que je collerais une trique d’enfer à ce dernier, il me laissera entrer dans son bureau, réunion ou pas. « Vous voyez ce diamant ? Vous voyez ce corps parfait ? Ils me donnent tous les droits, alors allez voir ailleurs si j’y suis. Surtout que vous risquerez d’entendre monsieur Meyers crier après la gâterie qu’il va avoir d’ici quelques secondes ». Elle ouvre les yeux grandement et je me contente de me marrer en la regardant. Je tourne les talons ensuite avant d’ouvrir la porte du bureau de mon fiancé, le voyant assis à son bureau téléphone à la main. Il me regarde, souriant légèrement. Je laisse mon sac tomber au sol avant de m’approcher de lui telle une féline. Il continue de parler et sans attendre je me place sur lui à califourchon passant mes mains dans sa nuque. Je sais que ce n’est pas cool de faire ça alors qu’il est en réunion mais en fait…je m’en fiche. Je dépose mes lèvres dans sa nuque pour y déposer des baisers successifs avant de remonter sur sa mâchoire puis sa bouche. Il tente de se reculer et ça me fait rire. Je continue de l’embrasser alors qu’il essaye en vain de parler. Mon bassin commence à bouger longuement contre sa trique naissante. Je finis par raccrocher son téléphone avant de le faire tomber au sol en le regardant un sourire taquin sur les lèvres. « Oops, désolée babe ! ». Comme si je l’étais vraiment. Ce n’est pas le cas et puis je suis largement plus intéressante je crois que la personne qui était au bout du fil. Je ne le laisse pas répondre, ma bouche se plaquant fougueusement contre celle de Mason, ma langue se frayant un chemin pour venir taquiner la sienne sans ménagements. Je continue de laisser mon bas ventre frôler son pantalon alors que ses mains remontent dans mon dos avant de serrer ma nuque. Je laisse échapper un soupire de satisfaction, ma langue aguichant la sienne d’une manière presque salace.
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MessageSujet: Re: の the game has just begun. (Mason).   の the game has just begun. (Mason). Icon_minitimeVen 6 Jan - 0:42



J’sais pas où j’ai foutu mon pantalon, j’sais même pas si j’suis dans ma chambre, en fait je sais rien. Le soleil me cogne sur le crâne et j’voudrais vraiment qu’on me transporte jusqu’à où j’dois aller parce que j’suis trop paresseux pour faire le moindre mouvement. Mon torse à l’air, j’entends les filles marcher dans le couloir pour se sauver, leur taxi les attend. Curtis doit sûrement être plus loin, parterre écrasé comme le connard qu’il est, bandé de la veille. Putain, blame it on the alcohol, c’est tout c’que j’ai à dire, j’en reviens pas que j’l’aie laissé m’entraîner dans ses conneries. Il a décidé d’faire une fête chez lui, près de la plage, alcool coulant à flot, les joints étaient présents, mais j’me suis pas permis d’y toucher parce que j’savais que ça allait me rester dans le système et que j’ai besoin de paraître sérieux au travail. Paraître, pas nécessairement être, ouais, bon jeu de mots. Curtis a pris congé, il a prétexté de la famille qui venait le voir. Il a pas vu sa famille depuis 9 bonnes années, il est trop con, mais ça le patron le sait pas alors il lui a permis. Vu que j’suis pas non plus un snitch, je vais pas aller rapporter comme un pédé que c’est pas vrai. Bref, j’frotte mes yeux, j’tente d’esquiver les rayons du soleil qui me brûlent littéralement les yeux. Je hais avoir une gueule de bois, ça m’atteint pendant un bon 10 minutes et ça m’empêche de faire des mouvements qui m’aideraient à me rétablir sur mes deux pieds. J’soupire, me roule sur le côté et ma main se pose accidentellement sur le cul de la top modèle complètement fracassante de hier. Elle nous a fait un de ces strip-teases, j’en revenais pas ma queue. J’souriais comme un putain de con pendant toute la soirée, ingurgitant les shots que la barmaid nous fournissait. J’crois qu’elle savait que ça nous ferait cet effet, parce qu’à la fin de la soirée, quand elle en a eu bien marre, elle a commencé à boire avec et nous et j’crois la voir euh… ah, ouais, près de la piscine. Les mecs qui sont venus sont tous morts quelque part dans les nombreuses chambres d’invités de la maison et doivent sûrement avoir baisé à en perdre la vie. J’les envie dans un sens, parce que même si j’aurais pu m’en chopper deux – peut-être même trois – en même temps, je l’ai pas fait. Madds m’aurait sûrement rendu eunuque et je préfère garder mes couilles si j’dois la sauter sur mon bureau quand elle vient apparemment déjeuner. Par contre, si elle était venue, on aurait probablement passé la soirée dans un coin tranquille à jouer au docteur version foutrement salace. Elle aime prendre soin de mon sexe, tout comme j’aime titiller le sien et passer ma langue sur les jumeaux. Damn, j’en bande presque rien qu’à y penser… « Curtis, sale con, j’dois rentrer, où est-ce que t’as foutu mo… » Ma phrase se coupe sec, j’entre dans sa chambre et repère environ cinq filles toutes étalées de manière différente sur lui et son lit double king size. Je me mets à rire, parce que vraiment, il me bute. J’sors mon portable – toujours sur moi – et prends une photo, histoire de lui montrer plus tard et me foutre de sa gueule en live et surtout quand il sera sobre. J’vais pas le réveiller le pauvre, il risquerait de me poser plein de questions, du genre : « qu’est-ce qui se passe ? » ou encore « où suis-je ? ». C’est bon, j’ai pas le temps. J’fais demi-tour et cherche moi-même, j’trouve rien, fuck off. J’reviendrais le prendre quand Elsa, la femme de ménage, aura fait un tour et qu’elle comprendra que c’est à moi. Depuis le temps qu’elle travaille ici, elle reconnaît nos vêtements et sait toujours quoi faire quand ça dégénère. C’est aussi avec sa famille qu’on passe parfois Noël, parce qu’on a pas de famille autre que nous et que ses gosses nous vénèrent. Soit, c’est pas le moment pour ça... J’me casse vers ma bagnole et y monte rapidement parce que j’suis en boxer et que j’ai pas envie que la voisine cougar me voit et me siffle. J’me rends chez moi en un coup de vent, pas le temps d’appeler ou quoique ce soit. Lil me texte, j’réponds pas, pas encore. J’file sous la douche et en sors en un rien de temps. J’suis déjà plus réveillé que y’a 30 minutes et j’me sens capable d’affronter ma journée de travail.

J’arrive au bureau, Lil me dévisage, elle sait que j’ai bu et elle va me faire la morale dans genre, exactement 5 minutes, surtout parce que j’ai un gros meeting plus tard et que j’dois sérieusement me remettre dans le droit chemin avant ça. Ma cravate est de travers et ma ceinture est pas attachée, signe que j’ai sérieusement couru. Mon café a failli me tomber dessus et mes lacets sont embrouillés. Si j’m’étais cassé la gueule, elle aurait ri à s’en pisser dessus avant de m’offrir son aide. La porte fermée, mes trucs posés, j’peux commencer à ajuster mon costume, m’arranger pour paraître présentable. J’ai l’air de fucking rien, merde. Mes cernes, j’dois les couvrir avec j’sais pas quoi. Bref, en gros, j’ai besoin d’me détendre. J’texte Madds, lui dis d’me retrouver à 13h parce qu’on va déjeuner. En attendant, mon téléphone sonne et Lil entre pour me faire la morale, mais j’lève mon index, lui faisant signe d’attendre parce que c’est important. Elle s’en va en fermant la porte. Elle va attendre pour me la donner, c’te morale de merde. Parfois j’ai l’impression qu’elle essaie d’me faire passer des messages, comme si elle était ma mère ou quoi que ce soit, c’est pas drôle et la plupart du temps ça me gonfle, mais je fais avec parce que depuis le temps, je la connais. « Ouais, alors le deal pour Miami a été fermé ou on peut encore essayer de négocier ? Parce que j’ai des arguments et de la documentation qui prouvent légitimement qu’on a le droit de faire autant d’échanges qu’on veut et que le gouvernement lui-même peut rien dire parce que ça a été dit avant-même qu’ils se forment… Non, mais c’est de la merde tout ça, ça vaut rien du tout, c’est pas ça qui va sauver la mère-patrie ! » J’fouille parmi mes documents, entendant des bruits de pas en dehors de mon bureau, merde il est 12h59 et j’avais dit à Madds 13h00. Étonnement elle est à l’heure, d’habitude elle adore me faire attendre. Elle doit sûrement être entrain d’argumenter avec Lil parce que j’suis en conférence téléphonique. J’emmerde encore plus Curtis en ce moment, parce que c’est lui qui était sensé dealer avec cette bullshit et que ça me retombe forcément sur le dos. La porte de mon bureau s’ouvre, Madds y entre et Lil en arrière a l’air complètement blasée, la pauvre. Je m’excuserais si j’étais pas son patron, mais c’est le cas, donc j’en ai pas besoin. « Nah, Curtis est pas dispo pour le moment, il est avec de la famille et tu sais à quel point c’est important pour lui… Ouais bah écoute si tu veux appelle-le sur son portable. » Ma sulfureuse et chaudasse de fiancée s’approche de moi, c’est mauvais signe. 13h02, je suis foutu. Elle se place à califourchon sur moi et commence à me distraire. « Au pire appelle Graham, il va te dire quoi faire… » Fuck, non, pas maintenant Madds, t’es trop cruelle. Elle m’embrasse à tâtons et j’tente d’esquiver, mais elle est tenace et s’agrippe à moi. Elle fait des mouvements de bassin contre le mien et ça y est, je suis plus capable de me concentrer. J’suis à peu près sûr qu’elle porte pas de culotte, mais ça c’est un truc que j’examinerais de plus près quand on reviendra de manger parce que je crève la dalle et que j’aime pas baiser le ventre vide, ça me donne moins d’énergie pour la faire mourir de plaisir sous mes mains. Mes tentatives de rester concentré sont foirées, je commence à durcir et le téléphone me tombe des mains. Elle s’excuse, ouais elle a l’air totalement crédible. Elle se met à m’embrasser langoureusement, j’pourrais presque dire qu’elle m’agresse, mais j’aime ça. J’perds le peu de souffle que j’ai accumulé depuis ce matin, l’alcool oblige. J’remonte mes mains dans son dos jusqu’à sa nuque et j’la resserre. Une main se pose sur ses fesses, putain j’le savais, pas de culotte. Maddison Waybright est une Déesse sauvage salace, j’adore ça…

On se lève finalement. « On va manger, j’suis entrain de me décomposer. » Elle mord sa lèvre inférieure en me regardant dans les yeux, ça veut dire que quand on va revenir ça va chauffer. J’replace ma chemise et ma cravate, ainsi que mes cheveux, légèrement, et j’raccroche le téléphone avant que tout l’édifice sache c’que je fous dans mon bureau. Madds est debout, elle se penche pour reprendre son sac, beaucoup plus bas que l’usuel, ce qui fait que je vois directement son intimité. Elle va finir par me tuer un jour. J’soupire de fierté, me disant que des folles comme elle, doit pas y en avoir beaucoup dans le monde. J’dépose une claque sur son cul, ce qui la fait sursauter avant qu’elle se relève et me frappe l’épaule. « Arrête, je sais que t’aimes ça. » Elle me sourit en me faisant un beau doigt d’honneur et je passe mon bras autour de son épaule, entrelaçant ma main à la sienne alors qu’on sort du bureau. « Lil, j’reviens dans 1 heure. » Elle me répond à peine, avec un air bête en plus. « Prends ton temps surtout ! » Damn, Lilas et Maddison sont vraiment deux cas sociaux que j’arriverais jamais à comprendre. Une fois qu’on sort de l’édifice, après avoir chaleureusement croisé le père de Madds, on se dirige vers le restaurant le plus près qui fait des putains de merveilles à s’en couper les doigts. On s’installe sur la terrasse, lunettes de soleil sur les yeux, la serveuse vient nous demander ce qu’on veut en insistant grave sur le fait que JE puisse lui demander c’que j’veux… Damn, elle me lance des regards déplacés et Madds s’impatiente dans sa chaise, ça risque d’être chaud…
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MessageSujet: Re: の the game has just begun. (Mason).   の the game has just begun. (Mason). Icon_minitimeVen 6 Jan - 11:15

Ma relation avec Meyers était foutrement étrange. Ce n’était pas mon véritable fiancé mais simplement un mec qui avait décidé de m’aider et de rentrer dans ce jeu. C’était sans doute beaucoup plus maintenant. Au début, on ne peut pas dire que l’entente était cordiale. Je me souviens encore de quand mon père a débarqué en me disant qu’il avait un collègue à me présenter. Je savais très bien qu’il avait une idée derrière la tête. Ce soir, là je me suis contentée d’adresser quelques sourires à Mason avant de prétexter un mal de crâne démentiel pour me tirer et rentrer à l’appartement. C’est à partir de là que mon père a commencé à me foutre la pression, à exiger que je fasse en pas vers Meyers et que j’accepte enfin de sortir avec. Je crois que ce dernier a rapidement compris que ça me faisait chier. Il savait pas les réelles raisons de ma gêne, il ne savait pas que derrière, se trouvait Sidney, ma meilleure dont pour qui j’éprouvais des putain de sentiments. Le dire à mes parents serait clairement revenu à me tirer une balle dans les deux jambes. Et c’est comme ça je crois que tout cet engrainage à commencer. Mason semblait d’accord pour s’enrôler comme le gendre idéal et le fiancé aimant devant ma mère et mon père. Je ne disais rien, je me contentais d’encaisser et de faire mine d’être heureuse de me marier. C’est ce qui devait ressortir de notre pseudo union en papier mâché. On a toujours réussi à garder l’illusion d’être un réel couple, parfois ça me faisait bien rire de voir comment les gens autour de nous venaient nous féliciter – observer ma bague comme des espèces d’idiots. Je me contentais de sourire comme si ça me faisait plaisir de les voir s’agglutiner autour de nous pour nous parler et nous complimenter. Mason n’a jamais posé de questions concernant mes motivations à faire ça, tant mieux parce qu’il se serait pris un aller-retour direct de mes mains dans sa gueule. Je n’ai pas envie de parler de Sidney avec lui ; seul River est au courant et c’est très bien comme ça. C’est le genre de truc qui finit inévitablement par s’ébruiter et là, ensuite, c’est la merde, une merde internationale ouais. Je n’ose même pas imaginer si mon père venait à apprendre que sa fille a des vues sur sa meilleure amie. Je ne sais même pas si c’est encore le cas, en réalité. Heureusement que River est là, c’est le seul à avoir été toujours présent pour moi, refusant de me laisser ou de me juger. Beaucoup de personnes doivent croire qu’on baise à profusion, ce n’est pas le cas, c’est sûrement la personne la plus importante depuis toutes ces années d’amitié.

Ma relation avec Mason n’en est que plus complexe. Je ne sais pas réellement comment le qualifier et ni même savoir ce que je ressens. Je trouve ça dingue parce qu’au fond, je n’ai pas l’impression d’être amoureuse, ah ça non, quant à l’hypothèse d’avoir des sentiments, elle me semble aussi folle. Pourtant, parfois, je ne peux pas m’empêcher de ressentir un profond sentiment de jalousie quand sa secrétaire ou n’importe quelle autre fille s’approche un peu trop – près de lui. Mais ça évidemment il le sait pas, je lui dirais pas, pace que j’imagine déjà son sourire de connard s’afficher sur sa gueule du genre, à bien me foutre ma jalousie dans le visage. Quoiqu’il en soit, pour l’instant notre « petit » arrangement continue de me plaire. Faut dire qu’on se côtoie, qu’on participe à des fêtes, qu’il m’offre tout ce que je veux au moment où je le veux et qu’en plus pour surplomber tout cela, on s’envoi en l'air dès qu’on le peut et en plus d’une manière plus que torride. Y a rien qu’à voir, là ses mains qui remontent dans mon dos pour serrer ma nuque, cette même main qui redescend le long de ma colonne pour finalement comprendre que oui, actuellement, en dessous de ma robe, je ne porte aucune petite culotte. Meyers n’en est que plus surpris et je souris en coin avant de l’embrasser encore. Ses putains de lèvres qui me donnent envie de les dévorer dès que je les vois, c’est aussi clair que ça. Il finit par m’aider à me relever avant de m’annoncer qu’on va manger, en langage Meyers ça veut dire qu’il veut prendre des forces avant de me faire valser au septième ciel sur son bureau. Je me baisse volontaire à outrance pour le teaser un peu plus encore alors qu’il finit par faire claquer sa main contre mon fessier. Je sursaute, affichant une mine faussement offusquée. Il passe sa main autour de mon épaule, ses doigts se mêlant aux miens, et ça me plaît foutrement, encore plus quand on sort du bureau et qu’on en arrive à croiser le regarde de son idiote de secrétaire. Je lui lance un putain de sourire hypocrite en faisant en sorte d’exposer le diamant qui siège à mon annulaire gauche. On finit par arriver au restaurant quelques minutes après, se posant sur la terrasse pour profiter un peu du soleil qui cogne fortement. Je plonge mon regard vers la carte, pour me décider sur ce que je vais dévorer, alors qu’une voix de pétasse siliconée me sort de mes pensées. Je me redresse baissant d’un cran mes lunettes de soleil la regardant de haut en bas. Elle a du oublier un bout de sa robe, ouais c’est ça. Je la regarde parler à Mason et lui faire clairement comprendre qu’elle a envie de se le taper. Ça m’énerve, cette connasse aussi fausse que les seins de Pamela Anderson n’a aucun droit de venir draguer ouvertement Meyers alors que je suis là. « T’as besoin d’aide peut-être pétasse ? Non, parce que t’as pas du comprendre que c’est mon mec que tu dragues là, non mieux encore, tu vois ce diamant, on est fiancé ouais, alors tu ferais mieux de faire demi-tour si t’as pas envie de te retrouver avec ta tête contre le trottoir ». Que je lui dis d’une voix froide et odieuse. Qu’elle se tire rapidement parce que ça va mal finir et demain je ferais la une des journaux de Surfer Paradise pour avoir défoncé la gueule de cette serveuse. « Faut te calmer, si t’as peur que ton mec te trompe ce n’est pas mon problème » Qu’elle me dit d’une voix de salope. Je prends une profonde inspiration avant de me relever pour arriver à sa hauteur la surplombant même. « Je crois que tu n’as pas compris. Tu ne sais pas qui je suis chérie alors casses-toi si tu tiens à ta place parce que sinon demain tu pourrais aller pointer sur le trottoir d’en face. Oh mais attends…c’est déjà ce que tu fais non ? » Que je lui en lui lançant un regard noir alors qu’elle secoue sa tête tournant rapidement les talons. Je m’assois et Mason, affiche directement un sourire de merde, sûrement heureux de me voir réagir ainsi. « Ta gueule Mason » que je dis avant même qu’il ne prenne l’initiative de dire quelque chose. « Mes parents m’ont dit qu’on doit aller visiter le domaine pour le mariage, ça m’emmerde mais on ira ce weekend histoire qu’ils me lâchent un peu » Que je dis à mon pseudo fiancé alors qu’un autre serveur finit par nous apporter nos assiettes. On commence à manger, parlant de tout et de rien, de sa soirée avec Curtis, de la mienne avec River – je le fais chier en faisant mine qu’on a baisé même si ce n’est pas le cas. Soudainement, l’envie de le sentir posséder mon entre cuisse reprend le dessus. Je souris en coin avant de remonter ma jambe contre la sienne, l’aguichant du regard alors qu’il semble surpris d’abord. Le bout de mon pied monte et descend, se glissant par moment au creux de sa hanche alors qu’il serre légèrement le poing. Je souris – jubile en continuant avant de passer ma langue à outrance contre mes lèvres, ma chevelure noire virevoltant légèrement à cause de la brise qui se soulève. Le dessert arrive et je dépose de la chantilly sur mon index que je commence à expressément lécher et aspirer entre mes lèvres. Je me penche alors vers Meyers en souriant avant de m’approcher un peu pour souffler près de son oreille. « Tu sais ce dont j’ai envie là ? De te sentir en moi…très profondément » Je me recule dans ma chaise continuant de le chauffer avec ma jambe. Il finit par payer n’y tenant plus et on se retrouve rapidement dans son bureau à nouveau. Il referme la porte et je le pousse contre en l’embrassant fougueusement mordant même légèrement sa lèvre au passage. Ma main ne tarde pas à se coller littéralement contre sa trique naissante alors qu’il laisse échapper un soupire. Je le regarde en souriant en coin commençant à bouger ma main lentement pour bien attiser un peu plus son désir. Ma bouche dérape dans sa nuque que j’embrasse avec fougue alors que mes mains remontent contre son torse, pour déboutonner un à un les boutons de se chemise. Je commence à déposer mes lèvres contre son buste, ma langue glissant lentement jusqu’à son ventre avant de remonter. Je recule en l’attirant contre moi avec le bout de tissus tenant encore sur ses épaules. Mes fesses finissent par buter contre son bureau. Je l’embrasse à nouveau, sentant ses mains serrer ma nuque alors que la mienne finit par glisser dans son pantalon déboutonné à présent glissant contre sa masculinité, que je me mets à caresser doucement d’abord puis plus rapidement, ralentissant à nouveau pour lui redonner ensuite de la vigueur. Je le sens se contracter et ça me fait marrer. Je sais très bien l’effet que j’ai sur lui. Je relève une cuisse contre sa hanche tout en continuant de l’embrasser furieusement sentant un peu plus à chaque fois l’envie de le sentir en moi.
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MessageSujet: Re: の the game has just begun. (Mason).   の the game has just begun. (Mason). Icon_minitimeMer 11 Jan - 2:18

Ça me fait rire quand Maddison me dit qu’elle est jamais jalouse de quoi que ce soit et qu’elle pète pas de crises massives pour des riens, mais putain si j’devais compter le nombre de fois qu’elle m’a fait des scènes qui servaient à rien, tout ça pour prouver qu’elle me tient par les couilles et que j’lui appartiens, qu’elle a démarqué son territoire et que les autres filles doivent la respecter et presque baiser ses pieds quand elle leur adresse la parole. J’devrais lui faire investir de l’argent pour chaque fois où elle agit comme une gamine, je serais encore plus riche que j’le suis pour le moment après un seul petit mois. Elle est trop marrante, à penser que tout c’que j’fais doit être vu ou manœuvré parce qu’elle le veut. Après tout, quand j’y pense, si c’était pas de moi, elle aurait pas d’alibi pour son fiancé ou sinon elle serait obligée d’aller le chercher dans les chiottes de la ville et de l’habiller elle-même, de lui faire parler par son intermédiaire et lui donner une éducation Maddison Waybright 101 avant de pouvoir le présenter à qui que ce soit. J’ai pas fait ça, moi. J’me souviens de nos premiers mois. Elle me détestait parce que je la dégoûtais apparemment, mais ça m’empêchait jamais de me la serrer dans un coin et qu’elle gémisse comme si elle s’était pas faite baisée pendant des années. La première fois que j’l’ai prise, c’était sur le sofa de chez moi. On rentrait d’une soirée et j’me souviens qu’elle avait la flemme d’aller chez elle. Elle allait dormir dans la chambre d’amis, mais j’en ai eu marre. Elle faisait de l’attitude et j’voulais absolument qu’elle me foute la pax, que j’puisse aller dormir et oublier mes obligations du lendemain. Non, elle préférait continuer de parler pour rien dire, j’me souviens pas de ce qu’elle disait, j’sais juste que ça m’intéressait pas. J’lui avais proposé la semaine d’avant de baiser, parce que j’étais foutrement en manque, que mon travail bouffait mon temps et donc que j’avais pas le temps d’aller draguer ailleurs. Aussi en toute logique, si on veut que quelqu’un joue un rôle important pour nous sans lui donner de l’argent, faut au moins lui donner quelque chose d’intéressant qui va faire que l’intérêt parte pas. Parce que si je m’étais ‘mis’ avec elle et que j’avais été voir ailleurs ensuite – les autres filles qui rêvent de me baiser – ça aurait paru dans le journal et j’aurais eu une mauvaise réputation parce que j’tromperais apparemment Madds avec what’s her face et que… bref, trop compliqué. Du coup, on est rentrés, j’me suis impatienté, je l’ai embrassé, elle m’a frappé. J’ai trouvé ça drôle, j’me suis dit qu’elle voulait sûrement jouer avant qu’on passe aux choses sérieuses, alors j’ai recommencé et elle m’a refrappé. J’me suis dit que si elle cédait pas elle-même, fallait que je trouve un moyen. Elle s’est retournée trois secondes pour prendre ou déposer un truc, trois secondes qui m’ont permis d’élaborer mon plan d’attaque. Je l’ai poussée sur le sofa, elle portait une jupe – damn – et j’ai descendu lentement mon pantalon et mon boxer. J’ai relevé ses jambes, retiré sa culotte et l’instant d’après, j’me suis retrouvé en face de son intimité. J’ai bandé instinctivement, ça faisait quand même trois bonnes semaines que j’avais rien fait et je devenais fou. Mon index a lentement commencé à jouer avec les parties sensibles, elle jurait entre ses dents, mais elle était pas en position de parler. J’me suis penché, ma langue a établi un premier contact avec son entre-jambes et c’est là que le jeu a réellement commencé. Elle a instantanément gémi, me disant que j’étais un salopard de première et qu’elle se vengerait. « Merci babe. » est c’que j’lui ai répondu, prenant une pause de trois secondes pour ensuite recommencer avec plus d’entrain. Elle a eu un premier orgasme, j’me suis dit que c’était ma chance de m’infiltrer. J’me suis relevé et mis en position et je l’ai baisée. Je l’ai baisée jusqu’à temps que j’en puisse plus. Je l’ai baisée jusqu’à extinction des feux en-dedans qui me demandaient sans arrêt de sortir. Je l’ai baisée jusqu’à en avoir les couilles vide. Quand j’en ai eu fini, elle m’a frappé, m’a encore insulté et s’est cassée en furie. J’étais particulièrement satisfait et j’suis allé me laver, pour ensuite dormir comme un bébé.

Le bon temps, le temps où Madds me pétait des crises chaque fois que j’la prenais sauvagement dans des endroits publics. J’y pense de cette manière, mais pour elle ça avait une toute autre signification. J’me souviens encore du jour où elle m’a déclaré qu’elle était pas ma pute et que j’avais pas le droit de la traiter comme de la merde. Ça a sûrement été une des rares fois où j’me suis senti mal dans ma vie et j’me suis excusé. M’enfin, on a fait du chemin depuis. On baise quotidiennement, on fait des activités ensemble – qui se terminent presque toujours par des parties de saute-mouton, jambes en l’air, docteur version porno, etc. Je porte pas attention au cat fight débutant, j’suis trop occupé à sourire et à mater le décolleté légèrement prononcé de Madds. Le décolleté dans lequel j’ai gravement envie de plonger ma main, ou ma queue, c’est à décider quand le moment arrive, parce que je sais qu’il arrivera. Elle est canon à souhait, je lui dis seulement de manière salace, parce que si j’lui dis normalement, elle va me faire chier et faire comme si j’lui devais quelque chose. Parfois, ses manies de princesse prennent le dessus et j’déteste ça. J’dois avouer que ça la rend encore plus chaude, mais c’est plus lassant qu’autre chose et quand j’ai envie de baiser, c’est pas le meilleur moment pour que ça fasse effet. En ce moment, elle doit sûrement être entrain d’envoyer chier la serveuse, la connaissant elle prouve encore une fois qu’elle est la reine. La fille se casse, ce qui me fait sortir de ma rêverie absurde et qui me pousse à porter mon attention sur ma fiancée. « Tu lui as dit quoi ? Elle va pleurer ? Si elle pleure, bien. Sinon, c’est moche. » Elle rit, évidemment qu’elle rit. Elle aime faire chier les gens, ça la stimule d’une manière que j’ai pas encore réussi à comprendre. Bref, elle me dit ce dont elle a envie. Intéressant, heureusement pour elle j’peux lui donner ce qu’elle veut si on se casse d’ici. « Tu sais ce dont j’ai envie là ? De retourner au bureau. » Étonnement, après c’que Madds a dit à la serveuse, c’est un autre qui nous a servi. En plus, elle se permet de se donner le temps de me chauffer. Sa jambe fait des miracles, la chantilly empire la situation dans mon pantalon. Faut qu’on bouge. J’paye et on se casse, toujours main dans la main – parce que faut toujours garder les apparences, c’est important – on va à mon bureau au pas de presse et une fois qu’on y est, j’referme directement la porte. Lil m’a dévisagé quand j’suis revenu, mais a rien dit de concret. Quand Madds va partir – si elle part – elle va commencer à me faire chier pour sûr. C’pas grave, j’vais profiter du moment. Je suis poussé sur la porte, Waybright est chauffée à fond, elle pose sa main direct sur mon paquet. Elle fait exprès, elle sait qu’elle a déjà commencé le feu, alors elle y ajoute de l’huile. Elle m’embrasse dans le cou, dérape un peu sur mon torse. Sa main joue avec ma trique, elle veut y mettre son grain de sel. Elle recule en m’attirant vers elle. L’instant où je pense que c’est à mon tour de m’éclater sur elle, bombasse se déchaîne et décide d’aller chercher ma queue qui se logeait dans la tranquillité que lui offrait mon boxer. On s’embrasse toujours, ma chemise est complètement déboutonnée, mes mains serrent sa nuque pour pas perdre le contrôle. Elle défait mon pantalon, alors que je m’amuse à faire glisser ses bretelles pour me donner accès à ses seins. Je fais descendre un peu sa robe juste sous sa poitrine, sa main maléfique est déjà entrain de me branler. Je lâche un soupir rauque puis j’sens sa jambe remonter contre ma cuisse. It’s show time baby, j’pose mes mains sur ses seins, les collant un peu et les molestant en léchant le bout de chacun, un après l’autre. Elle penche la tête par en arrière, accotant maintenant ses deux mains contre la paroi de mon bureau. Je l’embrasse dans le cou une dernière fois avant de commencer mon petit manège. Ses fesses sont à moitié sur le bureau, j’relève ses jambes pour qu’elle puisse avoir un meilleur appui et je la regarde en souriant. Elle a compris qu’elle va prendre. J’me mets à genoux devant elle et étale ses jambes sur mes épaules. J’incline la tête et passe ma langue lentement sur son clito. Elle sursaute, c’est toujours comme ça au début. J’en fais grande utilité en la bougeant sur chaque recoin de l’entre-jambes de Madds. Elle gémit et passe ses deux mains dans mes cheveux. J’sens que j’suis complètement bandé, elle doit être fière là… Mes bras entourent ses cuisses, ce qui me donne un pouvoir malsain. Les coups de langue proférés sont rapides, plus doux par moments, j’adore l’entendre gémir en espagnol, ça me fait sentir puissant et m’excite encore plus. J’ramène un de mes bras parce que j’ai besoin de ma main. De deux doigts en particulier. Deux doigts que j’insère minutieusement en elle. Je commence ensuite des mouvements de vas-et-viens avec mes doigts, proférant toujours des balayages avec ma langue. Elle devient folle, elle serre ses doigts dans mes cheveux, elle arrive plus à rester assise normalement. Elle est légèrement penchée vers l’arrière et a les yeux fermés. Elle se cambre et soupire longuement : premier orgasme atteint. Je la domine complètement. Elle m’appartient et en ce moment, j’pourrais écrire mon fucking nom sur l’intérieur de sa cuisse pour le prouver. Je dépose des baisers sur les extrémités de son intimité. Madds est complètement chavirée. Je retire mes deux doigts, m’affairant toujours avec ma langue qui vise son clito. J’vais poser mes mains sur ses seins, les touchant doucement, m’assurant que la pointe reste dure. Damn, quand j’y pense, elle a fait exprès de pas porter de culotte, c’était une pour une bonne cause et maintenant je peux clairement m’amuser. Je secoue la tête rapidement, sortant la langue pour lui donner un autre feeling. Ses orteils se crispent. Elle en peut tellement plus. Si j’étais pas entrain de lui faire un cunni de la mort, je sourirais.
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MessageSujet: Re: の the game has just begun. (Mason).   の the game has just begun. (Mason). Icon_minitimeMer 11 Jan - 8:28

Je ne comprenais pas réellement pourquoi je ressentais cette jalousie en moi. Je veux dire on n’était pas réellement fiancés et cet arrangement finirait par se terminer. Pourtant, ça me faisait clairement chier de voir une fille coller son cul en attendant de se prendre un coup de queue. Que ce soit cette serveuse insipide ou cette connasse de secrétaire. De toute manière, je ai rien à cirer, je suis aux yeux de tout le monde sa fiancée et peu de personnes savent que tout cela n’est qu’une grosse blague. Et heureusement, parce que si mes parents venaient à apprendre que tout cela n’était qu’une mascarade, je prendrais cher et pas dans le bon sens du terme, quant à Mason il se ferait clairement virer. Je n’ai pas envie qu’il ai des problèmes à cause de moi, même si c’est un connard fini la plupart du temps, une partie de moi est attachée à lui – évidemment l’avouer c’est hors de question – et c’est pour ça que je cherche à éviter que la vérité éclate bêtement à cause de personnes mal attentionnées qui voudraient foutre la merde dans nos vies respectives. Je refuse de me poser des questions sur ce qu’il est vraiment pour moi, amant, ami, plus, à quand même bien, je ne vois pas ce que ça changerait. Depuis le départ de Sidney, ma vie est bien assez compliquée pour que je m’enfonce encore un peu plus dans une situation de merde. Ça ne m’intéresse clairement pas. Au lieu de ça, je me contente de jouer à la fiancée parfaite, prônant son amour haut et fort et n’hésitant pas à remettre en place la première salope venue. Sauf que parfois, je sens bien au fond de moi que ce n’est pas de la comédie mais un véritable sentiment de jalousie et ça me bute parce que je ne comprends pas pourquoi. Parfois je me dis que je devrais tout arrêter, révéler à mes parents que durant tout ce temps où je disais que je préférais rester seule c’était uniquement parce que j’étais amoureuse de ma meilleure amie. Puis, la seconde d’après, une sorte d’électrochoc dans le ventre me remet les idées en place et me conforte dans l’idée de leur mentir. Maintenant, je dois dire que je me contente de profiter des avantages de ces fausses fiançailles. C’est-à-dire la baise avec un mec qui est clairement doué et pas moche. J’offre pas mon corps à n’importe qui et encore moins à ceux qui savent ni se servir de leurs mains et de leurs bouches, lui par chance sait faire les deux, la langue en supplément. Je ne voulais pas dépasser cette limite au début surtout que Sidney faisait encore partie de ma vie et que de savoir que j’utilisais cette union pour pas avouer mon attirance pour les filles, l’énervait assez. Mais quand nos relations ont commencé à se ternir un peu plus, je me suis dis que ça servait à rien que je me retienne et que je fasse rien. La première fois qu’il m’a baisé, j’aurais pu le tuer surtout parce que je refusais d’admettre que oui, c’était bon. On a commencé à coucher régulièrement et surtout quand monsieur le voulait, ce qui m’a poussé à lui claquer une durite parce que je n’étais clairement pas sa traînée. Après ça les choses ont commencé à évoluer et maintenant on a une situation qui me plaît bien. Du sexe, du fun et surtout pas de sentiments, enfin je crois. Je me suis jamais posée la question et je n’ai pas envie non plus de devoir lui demander ce qu’il pense réellement de cette situation et de ce qu’il ressent.

La baise, je crois que c’est le seul truc où on n’est vraiment d’accord et sur la même longueur d’onde. Tant mieux, c’est plutôt utile si mon entre cuisse veut s’éclater. Et c’est exactement ce qui est à nouveau en train de se produire. D’habitude, je n’aime pas spécialement baiser à son bureau parce que mon père traîne toujours dans les parages. Je n’ai clairement pas envie qu’il me retrouve sur le sofa les jambes en l’air et la queue de Mason au fond de moi. Bref, maintenant que ça a commencé, je ne risque pas de m’arrêter, surtout que Lilas la salope doit rager intérieurement de nous avoir vu revenir aussitôt parce qu’elle sait très bien qu’on n’est pas venu ici pour faire du tricot. Nos bouches continuent de se malmener, sa langue opérant un véritable combat salace autour de la mienne. Ses mains remontent dans ma nuque pour la serrer alors que j’ouvre un peu plus mes cuisses pour l’attirer vers moi. Je sens sa trique buter contre mon intimité – nue. Il me fait peut-être un effet de dingue mais je crois que c’est la même chose pour lui. Y a qu’à voir comment sa queue est dure et continue de durcir à mesure que mes mains dérapent contre son torse et son ventre. Nos langues continuent de s’attacher irrémédiablement l’une à l’autre. Mason commence à prendre les commandes, relevant volontairement mes jambes sur le rebord du bureau pour s’offrir une vue parfaite sur mon intimité qui devient de plus en plus humide. Mon fiancé libère ma poitrine de sa robe. Il serre mes seins l’un contre l’autre alors que ma tête bascule en arrière. Je me mords la lèvre inférieure en sentant des frissons parcourir mon échine au moment ou sa bouche malmène mes tétons durcis. Je soupire sans pour autant le privilège d’entendre un gémissement. Sa bouche finit par offrir une putain de douceur à mon entre cuisse, sa langue descendant contre et comme si ce n’était pas suffisant, deux doigts y pénètrent. Je me cambre totalement sur le bureau, les cheveux frôlant le bois de ce dernier alors que ma lèvre devient rouge tellement je la mords. Mes cuisses s’ouvrent machinalement. Je n’arrive plus à réellement me retenir et je laisse échapper un – premier gémissement en serrant mes mains dans les cheveux de Mason, l’obligeant ainsi à accentuer la cadence de sa langue contre mon intimité. Ses doigts finissent par ressortir mais sa langue elle, reste totalement plaquée contre le sommet de mon entrecuisse. Je soupire – expire, mon corps semble subit les assauts d’un putain de sentiment de chaleur, on dirait que j’étouffe et pourtant c’est loin d’être désagréable. Je me redresse légèrement en griffant ses épaules sous l’effet du plaisir. Je décide de reprendre les commandes pour à mon tour lui faire perdre pied. Je le fais reculer contre le mur en face avant de me mettre à genoux. Il me fixe, je souris en coin avant de passer mes mains sur ses cuisses, descendant virer son boxer au niveau de ses chevilles. J’observe sa masculinité durcie et presque rougi par le désir durant quelques secondes en me mordant la lèvre. Je laisse filer le bout de mes doigts dessus, avant de m’approcher, ma langue prenant le relais. Elle monte, descend, titille, taquine, attise, cherche à le rendre totalement fou. Mes mains remontent sur son ventre alors que ma bouche vient à la rencontre de sa trique, calant cette dernière au creux de ma bouche, j’entame lentement de petits mouvements de vas et vient, aspirant par moment le bout de son sexe d’une manière plus vorace, il soupire, cale une main contre le mur. Je sourie toujours parce que maintenant c’est moi qui mène la danse. Une main s’enroule autour de son membre, m’aidant à prendre un peu plus appuie avec ma bouche qui continue d’avaler complètement son sexe. Ma langue s’enroule autour d’abord puis ma main commence un mouvement d’avant en arrière, se mêlant ainsi à mes lèvres qui continuent le boulot. Les mains Mason filent dans mes cheveux les tirant, avant d’appuyer fermement celles-ci contre ma tête, la forçant à avaler toujours un peu plus son sexe, j’ai l’impression d’étouffer, et ça paraît presque agréable, l’ivresse monte, l’humidité entre mes jambes à nouveau. Mason laisse échapper des soupires toujours un peu plus rauques, un peu plus forts et j’espère que Lilas passe par là pour qu’elle voit que Meyers m’appartient clairement. Je n’en ai rien à foutre que ça amuse ce dernier de me voir aussi vorace comme pour me prouver ça parce que c’est aussi le cas pour lui. Il fait tout le temps le mec détaché mais je sais que ça rend le fou de me voir avec un autre type. Je deviens comme une tigresse à ce moment précis, se ruant sur sa trique craignant d’en manquer, son sexe s’enfonce, s’engouffre un peu plus chaque seconde dans ma paroi buccale, je ne le laisse pas ressortir, mes lèvres l’emprisonnent, le réclame même. Les bruits de sucions se font entendre au milieu de ce silence de plomb. Je sens sa trique tressauter, se crisper. Je finis par me relever avant de l’embrasse fougueusement, sa langue reprenant ses droits auprès de la sienne. Mon corps – pas totalement dénudé se colle contre le sien et ma main s’enroule à nouveau autour de son sexe. Je commence des mouvements lents d’abord, pour bien le faire chier parce qu’il pose sa main contre mon poignet pour me faire signe d’accélérer. Mais je suis une connasse alors je le ferais pas. Je colle mon front au sien tout en continuant mes caresses qui se font de plus en plus prononcées. Je frôle à peine ses lèvres en soufflant contre avec provocation, mon regard plongé vers le sien. Je souris en coin le voyant crisper sa mâchoire. Mes lèvres se déplacent dans sa nuque, créant un chemin humide avec ma langue de haut en bas avant de venir suçoter son lobe d’oreille – laissant un gémissement s’y loger. Ses mains montent et descendant dans mon dos me pressant à chaque seconde – un peu plus contre lui. J’aspire mon index ensuite et le passe le long de son torse jusqu’à son bs ventre. Il ferme les yeux quelques secondes et ça me fait d’autant plus sourire. Je continue de le teaser en me reculant ; ma bouche collée contre la sienne avant de buter contre le bureau en le fixant, attendant qu’il se décide à posséder mon entrecuisse pour calmer les ardeurs de cette dernière. Mes jambes se relèvent et entourent son bassin. Je souris en le regardant, attendant la suite.
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