Cigarette Smoker
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« I've never been so grateful to not meet you. » Mason.

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« I've never been so grateful to not meet you. » Mason. Vide
MessageSujet: « I've never been so grateful to not meet you. » Mason.   « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. Icon_minitimeMer 21 Déc - 23:00


« I've never been so grateful to not meet you. » Mason. Tumblr_lrbfx88j411qll1npo1_500


Anthony Mason Meyers

SURNOM(S) → Meyers. ◮ ÂGE → 27 piges. ◮ DATE DE NAISSANCE → 27 juillet. ◮ LIEU DE NAISSANCE → New York City, USA. ◮ STATUT CIVIL → officieusement célibataire, officiellement fiancé. ◮ STATUT SOCIAL → aisé. ◮ ORIENTATION SEXUELLE → l'entre-jambes des femmes me rendent fou What a Face. ◮ MÉTIER → gestionnaire à Waybright Industries. ◮ GROUPE → making money.




Baby, that's one hell of a life

charmeur ◮ ambitieux ◮ audacieux ◮ possessif ◮ jovial ◮ à l'écoute ◮ borné ◮ narcissique ◮ travailleur

J’m’en souviens comme si c’était hier. Le principal m’a appelé dans son bureau et mon père est venu me chercher. Ça a littéralement été le pire jour de ma vie, mais après l’enterrement, j’en ai jamais reparlé à qui que ce soit, même pas à mes meilleurs potes. J’leur ai fait comprendre que c’était pas un sujet à aborder et du coup ils ont compris et me foutent la paix avec ça. ils prétendent que leurs parents sont les miens et c’est beaucoup plus facile comme ça. Bref, j’étais en classe avec Allison et Curtis, on était entrain de rendre le prof dingue de rage parce que je répliquais sans arrêt à ce qu’il disait. Il avait tort, je le savais, je l’avais étudié le soir d’avant – ça m’arrivait – et il était trop sûr de lui. Je l’ai remis à sa place, il m’a fait encore plus chier. Il avait clairement envie d’m’envoyer chez le directeur et d’me faire couler sa classe, mais après qu’il se soit rendu compte de son erreur, il a pris la honte de sa vie et a pas osé me questionner après. « Putain Anthony, t’es vraiment un enfoiré. » Qu’Allie me dit. Je souris, j’hoche la tête positivement et croise les bras. « Merci, j’y travaille très fort tous les jours. C’un honneur de savoir que mes efforts portent fruit. » Allison est ma copine du moment. Le mois dernier c’était Sabrina et le mois prochain ce sera sûrement Alexia, mais pour l’instant, j’reste tranquille parce que j’ai besoin de garder ma bonne réputation. Elle passe sa main sur mon épaule et me sourit, signe que ce soir ça va donner à la fête organisée chez Curtis. Ses parents se sont cassés pendant deux semaines et il a la maison à lui tout seul. En plus, ils ont oublié de dire à la femme de ménage de pas passer pour voir si Curtis a fait des conneries, du coup elle va passer quand même après nous et ce sera ni vu, ni connu. Évidemment, j’dis à mes parents que tout le monde va dormir chez lui pendant deux semaines pour lui porter compagnie, mais j’y vais seulement parce que j’suis le seul capable de me procurer de l’alcool facilement et que j’dois aider à organiser la méga fête de l’année. C’est bientôt l’été, on célèbre la fin de l’année et en été on célèbrera le fait que c’est notre dernière année de lycée avant d’aller à l’université. On va presque tous se perdre de vue, mais Curtis et moi on a appliqué à la même université, du coup on va être colocataires dans le condo que mes parents m’ont acheté près de là. Ils veulent pas que je me fasse influencer par les fêtards de l’université… Ce qu’ils savent pas, c’est que c’est sûrement moi qui vais transformer tous les geeks que je trouve sur mon chemin en dévergondé. Je compte leur montrer les joies de la marijuana, ainsi que leurs futures meilleures amies : Vodka, Tequila & Rhum. « Anthony Meyers demandé au bureau du directeur. Anthony Meyers, bureau du directeur. » J’suis sorti de mes pensées par la voix que j’entends à l’interphone. J’me lève et prends mes affaires, j’estime que j’vais pas revenir me faire chier ici après. J’me lève, faisant un signe comme dans l’armée à mes potes et un clin d’œil au prof. J’prends mon temps dans les couloirs, j’croise les cheerleaders de cette année – toutes plus canons les unes que les autres – et elles ont l’air de se languir à me voir passer. J’leur fais signe de m’appeler, elles me sourient en retour. Y’en a une qui me fait un doigt d’honneur, oh… Ines, la fille que j’ai baisé y’a trois mois et que j’ai pas rappelé ensuite. Sorry babe, j’avais autre chose à faire. J’arque un sourcil et pousse la porte du bureau de la secrétaire qui mène à celui du directeur. « Le directeur vous recevra sous peu. » J’ai jamais compris le principe que les adultes vouvoient les gosses, mais ça doit faire partie de leurs principes, donc je dis rien. En plus, ça m’fait sentir comme un roi. J’m’assois sur une des chaises présentes. La secrétaire m’adresse pas un mot pendant ce temps-là. D’habitude elle me pose des tas de questions et me demande ce que je fais là et surtout ce que j’ai encore fait de travers, mais là rien. Y’a quelque chose qui cloche, je commence à le sentir. Le directeur ouvre la porte, j’entrevois mon père assis sur une des chaises en parallèle de son bureau. Il me fait signe de le rejoindre, j’y entre. « Qu’est-ce qui se passe ? J’suis renvoyé ? » J’veux des réponses, du coup faut que je pose plusieurs questions parce que connaissant mon père il va prendre perpette avant de formuler quoi que ce soit de cohérent et va finir par changer de sujet. Aujourd’hui par contre, c’est différent. Le directeur a l’air contrarié et mon père ose pas me regarder. « Anthony, assieds-toi s’il-te-plait. » Bon, là j’me dis que j’dois vraiment avoir merdé pour qu’ils tirent ces têtes-là. « Mais putain, qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai tué personne quand même ! » Mon père prend une grande respiration, il a les larmes aux yeux. « C’est ta mère, Anthony… Elle… Elle est décédée. » Il doit être entrain de se jouer de moi, ma mère peut pas être décédée. Elle m’a dit ‘à ce soir’ ce matin et m’a dit que bientôt on irait visiter de la famille dans le New Jersey. On devait aussi aller à Ibiza pour les vacances et en Australie pour voir de quoi ça avait vraiment l’air après toutes les spéculations qui étaient portées dessus. Putain, c’est impossible… et si c’est une blague, elle est vraiment pas drôle. « Te fous pas de ma gueule papa, t’es pas marrant. » Le directeur a pas l’air de rire, même pas de sourire. « Maman est encore en vie, ce matin elle m’a dit qu’elle et moi on avait des projets et tout. Pourquoi tu me racontes de telles conneries ? » J’commence à être agité, pourquoi mon père joue avec mes nerfs comme ça. Déjà que lui et moi on est loin de bien s’entendre, il a intérêt à me dire s’il se fout de moi tout de suite, sinon ça va mal aller pour lui. « Anthony, écoute-moi. Les officiers l’ont retrouvée ce matin, elle ne respirait plus, ils croient que c’était un suicide. Elle a laissé une lettre… Elle t’est destinée. » Une lettre ? Une lettre de quoi ? De démission de la vie ? Je rêve ! « Non, j’en veux pas de sa lettre, j’veux la voir elle ! J’suis sûr qu’elle doit être quelque part, peut-être à l’hosto, faut que j’aille voir ! » J’me lève et ramasse mon sac, faut que j’aille escarper la ville voir où elle se cache. Ça m’étonnerait pas qu’elle ait pris ses affaires pour se sauver de mon père. Après tout, cet homme représente presqu’un inconnu à mes yeux. Je l’appelle seulement papa par respect pour ma mère. « ANTHONY ARRÊTE ! » Je fige, je me retourne vers lui, le regard plein de haine. « Si elle est vraiment partie, c’est de ta faute. » J’me casse du bureau et me dirige à grands pas vers ma bagnole. Quand j’suis arrivé chez moi, les officiers y étaient encore et ils ont défini l’endroit comme une scène de crime. Curtis est venu me chercher, j’avais pas le courage de conduire. J’suis jamais retourné chez moi.

« J’pars en Australie demain. » Que j’largue comme une bombe à Bentley. Il en revient pas, ça se voit dans son expression, il se met à réfléchir. « Tu vas laisser toutes tes affaires ici ? » Ouais, je vois pas en quoi emmener des trucs qui représentent ma mère ou encore pire, mon père, vont m’aider à avancer dans la vie. « J’en veux pas. J’veux rien qui me rappelle ma vie ici. J’veux un nouveau départ. J’ai 18 ans, là-bas c’est l’âge de la majorité alors je gèrerai mes affaires de là. Tu viens ou pas ? » J’croise les bras, attendant sa réponse. J’crois pas qu’il va se questionner bien longtemps. Ses parents attendent une bonne opportunité pour le foutre dehors après toute la merde qu’il a causé ces derniers mois et ce serait l’excuse parfaite. « Évidemment, tu crois quand même pas que j’vais te laisser te casser à l’autre bout d’un océan sans moi. » Il a fait ses bagages, j’ai fait mon sac. Le seul sac que j’allais emmener parce que j’avais rien de chez moi à prendre. J’ai pris mes cartes, l’argent que mon père m’a toujours mis dans un compte et j’me suis cassé en compagnie de mon meilleur pote là où personne pourrait me trouver. Évidemment, j’ai coupé tout contact avec mon géniteur une fois que l’enterrement de maman est passé. Il méritait pas mon respect et j’allais pas me casser pour un connard dans son genre. J’ai aussi décidé d’envoyer chier son côté de la famille parce qu’ils allaient me servir à rien et que de toute façon, ils aimaient pas ma mère. Soit, Allison m’a envoyé un mail, me disant qu’elle est désolée et qu’elle aurait voulu être là pour moi. Aussi qu’elle est amoureuse de moi et qu’elle comprend pas pourquoi je l’ai laissée derrière. Sûrement parce que c’était pas la bonne… J’doute qu’un jour il y en ait une d’ailleurs. J’suis pas le genre à me marier et j’crois pas qu’aucune fille arrivera à me faire changer d’avis. En arrivant ici, j’ai eu du mal à comprendre leur accent, j’dois l’admettre. Ils ont ceux des Anglais modifié et ça m’a un peu joué dans le cerveau, mais j’ai fini par m’y habituer. J’crois que j’ai pris l’accent un peu, mais j’réussis à garder mon anglais américain intact la plupart du temps. Même si je vis ici, je voyage de temps à autre et ça m’aide à garder mes bases. J’me fais appeler Mason, parce que j’ai décidé que j’avais pas envie qu’on m’appelle par le nom de mon géniteur. Du coup, j’ai changé de nom sur mes papiers importants et j’ai pris le nom que ma mère m’a donné. C’est beaucoup plus facile comme ça, et ça me donne de quoi me souvenir d’elle quand elle était heureuse…

« Ball so hard motherfuckers wanna find me. » Que crachent mes haut-parleurs de radio alors que j’donne des coups de bassin incessants à Maddison Waybright. Il est tôt, genre 7h AM et les voisins dorment et je sais que ça les énerve, mais Madds l’a cherché, elle est venue faire son innocente vers 6h30, elle est rentrée avec son double de clef, a été faire des trucs dans la cuisine et est direct montée dans ma chambre ensuite. Évidemment, elle portait un déshabillé rouge en dentelle, donnant une vue imprenable sur ses formes de déesse ainsi que le long manteau en fourrure que j’lui ai offert pour son anniversaire. La plupart du temps, j’ai l’impression qu’elle fait exprès de me prendre par les sentiments – ceux de ma queue surtout – pour se faire prendre sauvagement et que si elle a pas ça elle peut pas passer une journée normale. Pour les fois où elle m’a fait le coup au bureau, j’pourrais presque dire qu’elle est la fiancée parfaite. Je la regarde gémir – crier, plutôt – et je souris en m’enfonçant un peu plus profondément à chaque coup. Mes mains tiennent la tête du lit, ses jambes sont relevées et accotées sur mes épaules, donc nécessairement resserrées sur mon sexe et mes jambes sont placées de manière à c’que j’puisse me donner des élans pour frapper plus fort. Elle se sent plus et du plus loin que j’puisse compter en me concentrant sur elle, l’orgasme qu’elle est entrain d’avoir à l’instant-même est son sixième. « Don’t let me get in my zone. » J’serre les lèvres, mes mains prennent maintenant ses jambes pour les incliner vers elle, j’me mets en position de planche et j’laisse tomber le poids de mon bassin sur elle. Plus ça va, plus ma queue disparaît, plus Maddison crie, plus mon sentiment de satisfaction grandit. C’est hallucinant comme j’aime voir son visage se décomposer quand on baise. J’me souviens de notre première fois ensemble, c’était après une soirée chez ses parents. Elle est venue ici pour ‘venir visiter et voir de quoi ma mansion avait l’air’ et j’ai décidé que j’en avais assez qu’elle me prenne pour un con. Elle a refusé de coucher avec moi au début, mais j’ai joué entre ses jambes et elle a vite changé d’avis. En deux temps, trois mouvements ses vêtements étaient parterre et je la culbutais sur mon lit alors qu’elle s’époumonait à crier « Dios moi » et « Joder ! », soit « Mon Dieu » et « Fuck ». J’dois réellement l’avoir marqué pour qu’elle change carrément de langage. Mes mains molestent sa poitrine et mes doigts jouent avec la pointe de ses seins pendant que mon bassin s’exécute encore et toujours à donner des coups secs. Je sens mes couilles claquer contre son magnifique cul et je profite du moment pour user d’une main qui descend jusqu’au point sensible de son intimité et qui se met à jouer avec. Elle ouvre la bouche plus grande de surprise et ferme les yeux en soupirant plus fort quand elle atteint le septième orgasme. Madds, damn, si tu savais à quel point t’étais bonne. Je me retire, le temps de la retourner et la faire se placer à genoux pour recommencer de plus bel. Je me réinsère en elle et mes mains se posent sur ses seins, mes lèvres dans son cou et les coups de bassin recommencent. Elle relève sa longue chevelure foncée alors que j’accélère le mouvement. Je la fais s’incliner par en avant en mettant ma main sur sa nuque. Ses cheveux suivent le mouvement et je me penche légèrement pour déposer des baisers chauds dans le haut de son dos. J’fais encore des vas-et-viens pendant quelques minutes avant de la faire placer ses mains sur la tête du lit, que j’couvre ses mains des miennes et que ses cheveux tombent sur son dos et bougent au rythme de son corps. Je la percute, je me creuse une place précieuse entre ses jambes et cette place se fait de plus en plus brusque chaque fois que je donne un élan à mes hanches. Madds est une tigresse, une beauté, la mienne surtout. Elle succombe lentement sans me laisser voir et se mord la lèvre en retournant sa tête vers moi. Je l’embrasse, mets mes mains sur sa poitrine et continue mes mouvements de bassin. Elle ferme les yeux en relevant légèrement la tête… J’lui ai jamais dit à quel point j’la trouvais magnifiquement excitante et délicieusement désirable quand elle se laisse aller et que je mène le jeu. C’est à mon tour d’atteindre l’orgasme. Madds est complètement déchaînée et je peux plus tenir parce que j’y ai vraiment donné tout c’que j’avais. Putain, il est même pas encore 9h00 que j’viens de passer presque deux heures à la sauter. Elle me tue, elle va me rendre sénile un jour, mais j’en profite gravement parce que c’est trop bon et que j’peux pas m’empêcher de garder mes mains pour moi quand elle débarque avec son manteau fin et que je sais qu’elle porte soit rien, soit un déshabillé vraiment démentiel en-dessous. Damn, qu’elle est bonne. Mon liquide blanchâtre se déverse en elle, je sens mon membre se relâcher légèrement. J’soupire en grognant, j’suis vidé – littéralement – elle jubile. « Bon matin. » Que j’lui dis nonchalamment. J’me retire et elle se retourne vers moi en mettant ses deux bras autour de mes épaules. Ses cheveux ondulés dévalent le long de ses épaules et son dos. J’me mords la lèvre alors qu’elle me sourit et qu’elle s’approche pour échanger le baiser qui boucle la baise. Mes mains passent de ses épaules à son dos, puis le bas de son dos à son cul majestueux. « Faut aller prendre une douche, on va être en retard. » Comme d’habitude, c’est pas comme si c’était pas écrit dans un livre que les jours où Maddison décide de débarquer pour une session de early morning sex, j’suis en retard. On dégage de mon lit et la douche nous fait bientôt dégouliner. J’la baiserais de nouveau, mais en faisant ça j’risque de signer mon arrêt de mort et même si Lilas me couvre la plupart du temps, elle va finir par manquer d’excuses.




That's the way I like to fuck

PSEUDO/PRÉNOM → Mymz {bis} What a Face ◮ ÂGE → 19 printemps, étés, automnes, hivers. ◮ PAYS/VILLE → Cananaaaaaa « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 858983 ◮ AVATAR → Jensen « God » Ackles. ◮ OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? → dans le lit de ta mère ! ◮ COMMENT TU LE TROUVES ? → moche à en crever « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 586537 ◮ PRÉSENCE → 91238213901723³/7 ◮ QUELQUE CHOSE À AJOUTER ? → blahhhh drink til you drop. ◮ CRÉDIT → TUMBLR, évidemment. ◮ L’ÉMOTICÔNE DE LA FIN → « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 40709



Dernière édition par Mason Meyers le Mer 4 Jan - 2:59, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: « I've never been so grateful to not meet you. » Mason.   « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. Icon_minitimeJeu 22 Déc - 7:18

HEY YOU. « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 282395
Mon faux fiancé dont je vais parfaitement bien m'occuper What a Face BONNE CHANCE POUR TA FICHE ! J'te baise. « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 40709 « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 14966 « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 293841 « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 173225 « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 343196
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MessageSujet: Re: « I've never been so grateful to not meet you. » Mason.   « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. Icon_minitimeJeu 22 Déc - 7:30

Miam Miam la bannière et l'avatar, tu te convertis bien husband « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 586537

Bienvenue & bonne chance pour la suite de ta fiche! I love you
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MessageSujet: Re: « I've never been so grateful to not meet you. » Mason.   « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. Icon_minitimeJeu 22 Déc - 7:53

Marshit en Ackles. What a Face ça c'est du jamais vu !
Jte dis pas bienvenue, mais j'te souhaite quand même bonne chance. « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. 14966
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MessageSujet: Re: « I've never been so grateful to not meet you. » Mason.   « I've never been so grateful to not meet you. » Mason. Icon_minitime

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