Cigarette Smoker
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Levinstone ○ if you fuck me, I promise to be happy.

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Ryan Levinstone

Ryan Levinstone
« Motherfucker in plain sight. »

« Motherfucker in plain sight. »
→ avatar : Alexander Skarsgard.
→ messages : 112
→ date d'inscription : 23/07/2010
→ âge : 32
→ localisation : entre tes jambes.


smoking weed
who's your crush ? ♠: yo' mamma.
your entourage ♠:
your group ♠: smoking weed.

Levinstone ○ if you fuck me, I promise to be happy. Vide
MessageSujet: Levinstone ○ if you fuck me, I promise to be happy.   Levinstone ○ if you fuck me, I promise to be happy. Icon_minitimeLun 21 Nov - 5:00


Levinstone ○ if you fuck me, I promise to be happy. 110904082409594885


Ryan Felix Levinstone

SURNOM(S) → j'ai deux prénoms qui font en tout 9 lettres, y'a pas de place pour un surnom autre que Levinstone. ◮ ÂGE → 28 piges. ◮ DATE DE NAISSANCE → le plus beau jour que la terre ait connu, 18 juillet 1983. ◮ LIEU DE NAISSANCE → ici, à Surfers Paradise. ◮ STATUT CIVIL → euh, marié. ◮ STATUT SOCIAL → riche, mais je m'en soucie pas, enfin c'est la richesse familiale plutôt que la mienne. ◮ ORIENTATION SEXUELLE → les courbes des femmes ont tendance à me faire tilter, j'crois que c'est clair. ◮ MÉTIER → homme d'affaires. ◮ GROUPE → cigarette smokers.




Baby, that's one hell of a life

con ◮ attirant ◮ joueur ◮ immature ◮ rancunier ◮ violent ◮ agressif ◮ extrêmement honnête ◮ impulsif ◮ moqueur.


Encore une autre fête familiale, mais c’est le pied par ici, vraiment. C’est pas si pire aujourd’hui par contre, parce que c’est l’anniversaire de ma génitrice et que je lui dois le respect de rester au lieu de faire acte de présence à la fiesta sur la plage qui m’attend à la seconde où les invités auront foutu le camp. Pour me réconforter, j’ai deux victimes : Malin et Kyra. Connor est toujours celui qui m’aide à les faire sortir de leurs gonds, puis y’a aussi Liv, que je peux pas mettre de côté. Elle a de drôles de façons de me faire comprendre qu’elle m’apprécie. Personne est au courant de son petit manège, et si ça se fait apprendre j’vais être dans la merde parce qu’elle est clairement plus jeune que nous tous et que j’ai pas envie d’me foutre tout le monde à dos à cause des conneries d’une gamine qui sait pas ce qu’elle veut. Je l’aime comme une sœur, va falloir qu’elle comprenne ça un jour ou l’autre. Il se passera jamais rien entre elle et moi parce que t’façon, c’est pas elle que j’veux et certainement pas elle que j’vais faire passer sur ma liste de conquêtes. J’ai déjà prévenu Connor de pas toucher à Kyra, j’vais pas aller faire mon salopard et toucher à Olivia, c’est insensé. J’suis un connard, mais j’ai quand même – quelques fois, rarement – des valeurs et je sais quand me tenir à carreaux de certains trucs. Ça arrive vraiment pas souvent, mais j’dois quand même me donner du crédit pour les efforts que je fournis pour avoir une conscience. « Connard, t’as intérêt à m’emmener à la fête sur la plage après ça. » Malin vient prendre des plats pour les servir dans la salle à manger. Là où les gens qui prétendent se soucier de ma mère sont réunis pour lui rappeler qu’elle se rapproche d’une mort certaine, magnifique. « Désolée gamine, c’est une fête pour les grands. » Elle me dévisage, je lui souris ironiquement. « Fuck you, aux dernières nouvelles t’es pas mon père et je vais pas m’empêcher de sortir pour toi. » J’aime l’honnêteté frappante de Malin, on dirait presque moi parfois, sauf que je me fais souvent insulter et reçois des coups de n’importe qui quand je dis ce qui me passe vraiment par la tête. Au moins j’ai la décence d’être direct et de pas mâcher mes mots au lieu de faire mon faux cul et sourire à une personne à qui j’ai envie de refaire le portrait en utilisant n’importe quel bout de métal qui me tombe sous la main. « Ryan, Malin, on sait ce que vous faites dans la cuisine, mais c’est pas le temps ! » Kyra adore faire sa fouineuse et se mêler de ce qui la regarde pas, comme le fait qu’elle tente de coincer Malin et moi dans la même pièce, exclus de la société juste pour voir ce qui va se passer. J’le sais déjà, elle va me traiter de tous les noms en me disant que je lui pourris la vie et j’vais lui dire qu’elle est une peste égoïste qui pense qu’à elle, etc. jusqu’à ce que mort s’en suive. La mienne par intérim, parce que je touche pas aux filles, pas mon genre. Soit, j’vais finir par étouffer Kyra dans son sommeil si elle continue de s’amuser à me foutre la honte. Comme si je pouvais pas faire de même, elle perd rien pour attendre. « La ferme Kiki ou je t’enlève ta peluche préférée avec laquelle tu dors encore et à qui tu parles la nuit quand tu dors pas. » Étonnement – ou pas – Fields éclate de rire et ma sœur se casse en me faisant un doigt d’honneur, le visage décomposé. Je ris de ma connerie avant de suivre mes victimes jusque dans la salle d’exécution des prisonniers. Le souper se déroule sans anicroches, quoique ça m’aurait plu qu’un membre de la famille soit saoul au point de commencer à sortir de vieilles histoires que personne veut entendre et qui plairait à notre génération. C’est peut-être trop demandé aussi, on sait jamais. Les gens s’en vont, la satisfaction monte en moi. C’est signe que j’vais bientôt pouvoir me casser et rentrer à pas d’heures, comme je le fais si bien depuis mes sacrés 18 ans. « Ryan, si tu sors, ne rentre pas trop tard, demain on a une journée chargée. » Toujours le même refrain, en fin de compte la journée chargée c’est de faire un peu de ménage et après elle nous laisse partir parce qu’elle voit qu’on se fait chier à en mourir. « Yep. » Que j’dis. J’sais que Kyra veut s’emmener, mais j’lui ai interdit de sortir et l’ai menacé de dire aux parents que la semaine dernière elle a manqué presque deux jours d’école et que j’ai couvert pour elle. Ce que j’aime là-dedans, c’est qu’elle a aucun argument contre moi parce que mes parents se foutent de ce que je branle quand je sors de la maison, ils veulent juste que j’appelle une fois de temps en temps pour donner signe de vie. « Et fais gaffe à Malin, je veux pas que ses parents m’appellent demain pour me dire qu’ils savent pas où elle est. » J’hoche la tête positivement, sans entendre un mot de c’qu’elle vient de dire. Malin sort de ma chambre, habillée un peu trop sexy pour une simple fête. « Pourquoi tu fais cette tronche, Levinstone ? » Quelle tronche ? « Tu viens ou pas ? » Que j’me contente de répliquer. J’vais pas lui donner de réponse, elle va commencer une argumentation après et me casser les couilles avec, comme si j’avais besoin de ça. Quoique dans le fond, elle le fait tout le temps, mais que là c’est vraiment pas le temps.

La plage est longue, les gens sont nombreux, le weed se fait sentir dans l’air, l’alcool coule à flots. Je prends la main de Fields et la tire vers moi pour qu’on passe à travers la foule et qu’on se rende à un des différents bars plantés. Connor a dit qu’il viendrait nous rejoindre après, qu’il avait des business à aller régler. J’le comprends, j’ai cru repérer une ou deux salopes qui lui courraient après la semaine dernière et de qui il m’avait parlé en disant qu’il allait se les faire en même temps, sinon une après l’autre. J’suis fier de lui quand il me raconte tout ça, parce que ça veut dire qu’il prend en considération les conseils avisés que j’lui donne pour éviter de se faire étiqueter comme un trouduc. En même temps, c’est pas comme si c’était pas déjà le cas, mais l’espoir fait vivre. « Disaronno on the rocks, s’te-plait. » J’commande plusieurs shooters que Malin va sûrement caler parce qu’elle déteste gaspiller de l’alcool et surtout parce que… « Touche pas à c’que tu peux pas boire. Le fort c’pas pour les gonzesses dans ton genre. » Son égo accepte pas que je la rabaisse en lui disant qu’elle peut pas faire un truc. Son poing atterrit presque sur ma mâchoire, je l’esquive de justesse. « T’essayais de faire quoi, naine ? » Les insultes vont commencer à pleuvoir bientôt. « Ton prétendant t’attend. » Que j’dis en la retournant vers Shane. Le petit connard qu’elle a rencontré la semaine dernière et qui veut que la baiser pour la jeter. J’dis rien parce que j’veux qu’elle réalise par elle-même que tous les mecs sont pas comme moi et qu’ils vont pas tous faire gaffe aux stupidités qu’ils font. C’est dans notre nature de faire les cons, on s’en rend jamais compte et on blesse sans arrêt les autres, mais c’est comme ça et on va pas se mettre à changer du jour au lendemain. Elle part le rejoindre, une blonde m’accoste, j’ai étonnement envie de rien ce soir. Surtout parce que je la reconnais de la fête à laquelle j’ai été la semaine dernière et qu’elle était celle qui vomissait ses trippes aux chiottes après trois shooters de vodka et une bouteille de bière. J’la regarde à peine quelques secondes avant d’me casser dans la foule. Fields aura qu’à me chercher quand elle voudra rentrer. « RYAN ! T’as vu le canon là-bas ? » Connor pointe une fausse rousse avec un décolleté à en faire bander plus d’un, avec un énorme sourire. « Pleure en te disant que j’vais aller me la faire dans les cabines où on se change en maillot. » J’me contente de soupirer, arborant un sourire ironique et je l’envoie vers elle. Me faut plus d’alcool. J’trouve un autre bar et commande plusieurs shooters que je cale. J’peux pas boire éternellement – même si j’en suis capable –, j’décide d’aller dans un coin tranquille pour me rouler quelques joints que j’vais sûrement fumer directement après, mais Fields m’intercepte en compagnie de Shane la tapette. « Tu vas où ? » J’aurais répondu à sa question plus calmement si elle me tenait pas fermement le bras, le regard presqu’irrité. « Pas d’tes affaires. Me casse pas les couilles, va retrouver ton nouveau copain. » Elle soupire et nous éloigne de l’autre. « C’est quoi ton problème ? » Fallait sérieusement qu’elle pose la question ? J’soupire avant de tenter de réfléchir à un semblant de réponse potable. « Toi. T’es trop bouchée pour voir qu’il veut que te baiser et te jeter. » J’lui dis la pure vérité, comme j’ai l’habitude de le faire, mais évidemment elle va mal le prendre. « C’est c’que tu fais à toutes les filles que tu baises, alors pourquoi est-ce que ça change quelque chose ? » Comme je disais, maintenant elle trouve un moyen de ramener la situation à moi, ce qui a le don de me foutre les nerfs. « Ta gueule, tu sais pas c’que j’fais avec les autres filles. » Comme j’la connais, elle va me faire chier en me disant qu’elle le sait exactement parce que c’est ça qu’elle entend les autres dire. Jamais elle va me demander en face c’que j’fous avec ces gonzesses, et après elle va en faire tout un plat. « Oui, j’le sais. J’te vois faire, tu crois que j’suis conne ou quoi ? T’as qu’à aller te faire foutre Levinstone, j’en ai ras le cul de ta gueule de con. » Et on revient sur le trait d’honnêteté frappante. « Ça tombe bien, j’allais justement te dire la même chose. » Ses yeux s’écarquillent, comme si elle venait de voir quelqu’un se faire tuer. J’attends qu’elle dise quelque chose, mais elle se contente de me gifler – ce qui prend du temps à se rendre à mon cerveau enroué par l’alcool – et de se casser. « Casse-toi, parce que c’est la seule chose que t’es capable de faire de toute façon, connasse. » Là, je viens sûrement d’alterner la switch qui va mener à la troisième guerre mondiale, mais c’est de sa faute. « Retrouve ton faux cul qui va te faire sentir misérable après utilisation et bonne soirée. » J’ai peut-être un peu trop bu, parce que c’est à ce stade-là que la colère et la jalousie commencent à ressortir. Connor peut pas prendre ma défense et Kyra peut pas me dire de fermer ma gueule parce qu’elle est pas là. C’est bien, tout ça s’enligne vers une pente fatale inévitable. Elle disparaît et je me dirige vers l’eau, une bouteille presque pleine à la main et mes joints dans mon paquet de clopes. Ça va être beau comment j’vais me casser la gueule en arrivant là-bas, sérieusement…



Une main vient frapper le derrière de ma tête. Je réagis presqu’instantanément et laisse échapper des grognements d’énervement entre mes lèvres, joyeusement accompagnés de jurons et me remets en posture, avalant l’alcool présente dans ma bouteille comme un trou noir. Je sais parfaitement que c’est Malin qui vient de me frapper, mais j’en ai rien à foutre. « T’es pas avec ton prince Charmant ? » Un autre coup derrière la tête remplace la réponse qu’elle serait sensée me fournir. C’est bon, j’ai compris… « Arrête tes conneries et va baiser Shane au lieu de m’emmerder. » Mais j’aime quand même enfoncer le couteau dans la plaie, juste un peu, histoire que ça saigne et que le crash devienne absolument évident. C’que j’suis entrain de lui faire, elle va me le rendre en pire, je la connais. Elle dit rien parce qu’elle sait que c’est l’alcool qui parle et qu’elle en a pas autant abusé que moi. Le joint que j’avais entre les doigts s’éclipse jusqu’à ses lèvres et la bouteille que je croyais tenir fermement se vide dans son œsophage au fil des secondes. Elle grimace, tire plusieurs taffes et m’ignore. « T’es vraiment un sale enculé. » Je sais, merci. C’est pas comme si je travaillais pas sur mes skills d’emmerdeur. Elle tire encore quelques taffes, jusqu’à en finir mon premier joint. J’en sors un deuxième de ma poche que j’allume et sur lequel j’aspire des pouffées de marijuana, ma tête s’éloigne de mes épaules et à chaque taffe je me perds quelque part de différent, mais j’aime le sentiment d’être complètement à l’ouest et incapable d’émettre des phrases sensées ou qui blesseront pas les autres. Je me retourne vers Fields et hoche la tête, souriant comme un imbécile. Elle se relève pour me foutre une autre claque, c’est qu’elle est en feu ce soir, et se rassoit. Elle a de la chance de pas être un mec, parce que rendu là elle serait étalée parterre, entrain de suffoquer sous mon poing dans sa face. « C’que t’as dit taleur, ça m’a vraiment fait chier. » J’dis rien non plus, c’est pas comme si j’étais doué pour m’excuser. J’vais pas le faire, ce sera plus simple. J’hausse les épaules, elle m’arrache le joint de la main et taffe dessus. Elle laisse un peu la bouteille filer pour se retrouver de nouveau en ma possession et j’en bois une rasade de gorgées avant de la poser. Les rayons du soleil deviennent de plus en plus fades, les gens commencent à se casser parce que les clubs ouvrent bientôt et qu’ils vont tous y faire un tour. On est un peu plus loin que l’usuel. Connor a pas donné signe de vie depuis qu’il a repéré la fausse rousse, j’en déduis donc qu’il doit être entrain de la sauter quelque part. Plus ça va, plus le silence devient pesant. Ça m’affecte pas, j’pourrais ne pas lui adresser la parole jusqu’à temps qu’on rentre. « Réponds, bordel de merde. » J’pose mon regard sur elle, sourcils froncés. Elle a l’air de se recroqueviller sur elle-même, c’qui est signe qu’il s’est rien passé entre elle et Salopard. Sûrement qu’elle a pris sa leçon et qu’elle a vu que j’avais raison. T’façon, ce sont ses affaires. « Tu veux que j’dise quoi ? Désolé peut-être ? Tu sais que je le ferais pas. » J’sors une clope et la pince entre mes lèvres, avant de l’allumer et d’en aspirer la toxicité. Elle se crispe, ça veut dire qu’elle va s’énerver et craquer. Ma pauvre cigarette se retrouve dans le sable parce qu’elle la retire et se lève en me traitant de connard fini. Elle est sérieuse, mais je peux pas m’empêcher d’esquisser un rire. Avant qu’elle ait le temps de s’éloigner, j’accroche sa cheville et la fait trébucher accidentellement par en arrière. « Oups. » Elle s’étale sur moi, l’air plus blessée qu’autre chose. Je devrais m’excuser, mais j’en ai pas envie et je sais qu’au fond, j’ai pas eu tort pour Shane. Un sourire sournois se dessine sur le coin de mes lèvres. Elle plaisante pas, elle va pleurer si je continue de la faire chier, pourtant c’est exactement c’qui est entrain de se passer, parce que je prends pas sa rage au sérieux. « Me touche pas, tu me dégoûtes. » Sa tentative de se lever foire parce que je la retiens contre moi et la force à rester allongée. Je la fais chavirer pour la coucher sur le sable, une de mes mains remonte le long de sa jambe pour se rendre sous sa robe, l’autre s’insère dans ses cheveux et je mêle ma langue à la sienne. Ça lui prend plusieurs secondes pour capter ce qui est entrain d’arriver. Ma main – maintenant sous sa robe – s’empare du haut du sous-vêtement pour le descendre lentement. Elle me repousse pas, c’est bon signe. J’suis au-dessus d’elle, ma langue dans son cou, sur le haut de sa poitrine. Ses mains s’emmêlent dans mes cheveux et sa respiration se fait saccadée. Ma deuxième main se met au boulot en descendant complètement sa petite culotte et en la lançant plus loin. Deux de mes doigts s’infiltrent dans la zone toujours vierge de l’entre-jambes de Malin. Je les glisse d’abord à l’extérieur avant qu’ils fassent leur entrée magistrale qui me vaut un léger gémissement. Les mouvements de vas-et-viens sont doucement effectués, je peux pas me permettre de la brusquer pour sa première fois. J’y passe pas longtemps, je pense à un autre préliminaire qui devrait lui plaire. J’embrasse sa poitrine avant de faire descendre ma tête au niveau de son intimité. Mes bras entourent ses jambes, ma langue s’approche de sa proie et commence son petit jeu menant ultimement à un orgasme. Elle flippe, elle tremble, mais me laisse faire. Ses gémissements se font plus constants et mon sexe commence à durcir. Je m’amuse entre ses ambes plusieurs minutes jusqu’à ce qu’elle se cambre et serre mes cheveux entre ses doigts. Atteinte du premier orgasme. Elle se défait lentement de sa robe, puis quand je remonte elle retire mon chandail et détache mon pantalon. Je le vire complètement ainsi que mon boxer et finalement je défais le soutif de Fields. Ma langue englobe le bout de ses seins plusieurs fois avant que je relance nos langues dans un combat sans fin. Ses gémissements se font de plus en plus constants, sa respiration se saccade encore, mes doigts la font rêver. Je les retire lentement, proposant de les remplacer par la légende. Celle pour laquelle j’me fais reluquer par les petits cons dans les vestiaires. Je me positionne entre ses jambes, qu’elle resserre autour de ma taille, avant de la pénétrer. Elle gémit, serre son étreinte, mord sa lèvre et prend une grande respiration. Je passe ma langue dans son cou, accélérant mes mouvements de bassin. Ses ongles commencent à s’enfoncer dans ma peau et je la sens partir peu à peu. She’s enjoying this, et j’me fais un plaisir de la regarder prendre son pied. Elle dit rien, ses gémissements parlent d’eux-mêmes. Avec son caractère de furie, j’aurais pas cru que ça réussirait à la calmer, mais clairement j’avais tort. Mon sexe durcit encore en elle et je la serre contre mon torse, presque comme si je l’étouffais. Elle cache ses expressions faciales en logeant sa tête dans mon cou. Elle mordille mon épaule, j’y vais plus férocement. Maintenant, c’est à ma bouche qu’elle s’attaque. Ma lèvre inférieure est presque déchiquetée par ses dents, je la surprends quand je décide de changer notre position. Elle est assise à califourchon sur moi. Mon dos touche le sable et c’est elle qui doit faire onduler son bassin. J’ai l’impression qu’elle rate quelques battements de cœur avant d’accélérer ses mouvements, elle s’accroche du mieux qu’elle peut à mes épaules, continue de me chevaucher et passe une main nonchalamment dans ses cheveux. Malin est entrain de perdre son innocence, Malin est entrain de devenir la propriété de Ryan. Un sourire sournois s’affiche au coin d’mes lèvres, Fields le remarque et me griffe le visage. Je laisse échapper un rire qui l’insulte au plus profond de son égo de pauvre ex-vierge effarouchée. Je m’accote sur mes coudes avant de me relever complètement, on est face à face et elle peut rien faire d’autre que démontrer le plaisir que ça lui procure d’avoir ma queue enfoncée profondément entre ses jambes. Je l’embrasse violemment, elle s’entraîne à me laisser des marques dans le dos et laisse échapper d’autres gémissements plus intenses. Vient son deuxième orgasme, elle se resserre et a du mal à respirer, ses yeux se plissent et elle laisse échapper un long soupir. À peine quelques secondes passent avant que ce soit mon tour. Au moment où je déverse mon eau salée, je me souviens qu’on s’est pas protégés et que si elle tombe enceinte après ça, j’vais me faire écorcher vif. Elle est pas encore majeure et je doute qu’elle veuille avoir un gosse dans l’année. Elle me tuerait et m’haïrait surtout de lui imposer ça sans avoir pu profiter de la liberté que je viens de lui donner plus d’une fois. Je lâche un soupir et reste immobile, toujours en elle. Elle colle son front au mien, reprenant son souffle tant bien que mal. J’fais de même et me dis que c’est pas si pire, on a fait deux positions à date. La prochaine fois on fera mieux et on diversifiera notre répertoire. Malin dépose un baiser sur la commissure de mes lèvres et se relève, me laissant assis comme un con sur le sable. Elle cherche sa petite culotte – que j’ai lancé un peu plus loin – et la remet. J’me rhabille de mon côté et sors une clope de mon paquet avant de l’allumer et tirer des taffes. « Faut croire que t’es plus aussi pure maintenant. » Elle tente d’me pousser et me vole ma nicotine d’après-baise, merdeuse. Je lui mets ma main au cul, ce qui lui provoque un cri de hm, j’sais pas. Elle me lance un regard noir, ce qui me fait rire. « Pourquoi tu me regardes comme ça, gamine ? » Elle a l’air de réfléchir à quoi me répondre. Peut-être que ça me touchera cette fois, ou pas. « Parce que t’es con. » Ou pas, j’avais raison. Elle a jamais vraiment su toucher la corde sensible chez moi. Quoique quand j’y pense, y’en a pas, mais c’est tellement facile de la faire partir au quart de tour. Une occupation à temps plein pour laquelle j’ai même pas besoin d’me faire payer. « C’est pas une raison, mais si ça te fait plaisir… Au fait, tu conduis. » J’lui lance les clefs, qu’elle laisse tomber évidemment, et prends place sur le siège passager. « Où est Lancaster ? » Qu’est-ce que j’m’en bats les couilles d’où il est ce con, j’veux juste rentrer dormir parce que j’suis fini à la pisse et que mes organes génitaux doivent se remettre. J’pose une main sur ma grosse poche et remarque que ma trique est pas encore totalement partie, tant pis. « Rien à foutre, il rentrera tout seul. » Ma bagnole démarre et vu que je suis trop paresseux pour ramener Malin chez elle avant de rentrer chez moi, elle va devoir dormir dans mon lit. Comme c’est… dommage.

J’suis devant la maison des Bishop-Fields, j’attends que la brunette daigne en sortir. J’envoie un texte disant que j’vais venir la transporter comme un putain de sac patate si elle bouge pas son petit cul. Elle me répond d’aller me faire foutre bien profondément, faut absolument que je fasse le con, alors je réponds que je suis celui qui va la lui foutre une fois de plus. T’façon, à ce stade ça change rien. On a passé le week-end à baiser parce que Madame voulait expérimenter plusieurs trucs. J’ai eu la queue rouge après une certaine fois, mais j’m’en suis remis. Elle apprend vite en tout cas, et bordel qu’elle est bonne. Avec mon esprit mal tourné et ses sautes d’humeur constantes, ça se résulte à une bonne partie de jambes en l’air. Avant, c’était elle qui me giflait et moi qui l’étouffait avec un bras, mais j’préfère largement notre situation actuelle. Je sais pas encore ce qu’on est d’ailleurs, je sais juste que Malin la prude est Malin la déchaînée, dépravée si on peut aussi dire. Le visage innocent qu’elle porte a un double extrêmement tranchant et sexuel à souhait. J’aime le fait que je l’aie transformée en perverse invétérée. Au fond de toutes les pensées que j’peux avoir en la regardant se déhancher devant moi quand elle se rend quelque part, y’a ce sentiment de satisfaction indéniable qui ressort du fait que je l’ai enfin. ‘fin, que j’sois le seul à la toucher comme ça. Du genre passer ma main dans sa culotte en public et faire exprès qu’elle est tombée là par hasard et elle qui la retire en ayant peur que quelqu’un nous voit et qui jure comme un bûcheron par la suite. Je me fous de sa gueule et j’ai droit à des coups pour ça, par contre ça en vaut la peine. Elle est encore plus désirable quand elle s’énerve et j’aime la méthode que j’utilise pour la faire taire et susurrer mon nom au lieu de me maudire. Ma langue est ma plus fidèle amie ces temps-ci et j’ai pas à jouer autant avec ma main droite, parce que j’commençais sérieusement à en avoir marre de me branler sans images fixes. Maintenant, si j’le fais, c’est même pas moi, c’est elle et puis ça évolue en quelque chose de plus grand, de nettement meilleur. Moi entre ses jambes, ses gémissements, les orgasmes qui se succèdent. J’suis un génie, Malin sait pas encore ce qui l’attend. Soit, je la vois enfin débarquer et elle claque la porte de ma jeep. « Yo, fais attention, c’pas toi qui paye ça. » C’est pas moi non plus, mais on s’en fout, c’est pour le principe. « Ta gueule et conduis, on va être en retard. » Ouais, mets ça sur mon dos, feignasse. « À qui la faute ? Moi ? » J’hoche négativement la tête en poussant un rire forcé et ironique. On arrive devant l’école et j’me rends à la place de parking qui m’est réservée. Quand on a des parents qui font des contributions annuelles et surtout élevées à une école, on a quelques avantages qui viennent avec. Fields marche rapidement, elle a quelque chose et je le sens pas. « Ralentis, c’est pas comme si ça t’avait déjà dérangé d’être en retard avant. » Elle a honte qu’on la voit avec moi ? Elle devrait pas, au contraire. Tout le monde sait déjà qu’on est toujours ensemble de toute façon, et j’m’en tape de c’que les gens pensent en fait, je sais pas pourquoi ça m’a traversé l’esprit. « J’ai des trucs à faire. » Elle se met à courir et disparaît. J’vais pas lui courir après, c’est ridicule et surtout pas mon genre. « Lancaster, ramène ta tronche de cake ici. » Que j’lance à mon pote. Il s’exécute et se retrouve à marcher à côté de moi. Il a essayé d’me contacter tout le week-end, mais j’étais occupé, donc faudra que j’lui fasse le briefing aujourd’hui. « Je l’ai fait avec Malin. » Il dit rien, il continue de me parler de la bombasse qu’il a baisé à la plage pendant que j’tringlais Fields. Après une demi-seconde, le processus de compréhension est entamé et bientôt le stade de panique intense va monter. Pas pour moi, pour lui. « Putain t’aurais dû là vo… T’as fait quoi avec Malin ? » Il me demande de répéter instinctivement parce qu’il pense que j’me fous de sa gueule. Je le regarde sans dire un mot de plus et j’continue ma route vers les vestiaires. Il comprend pas encore totalement, il va capter tout à l’heure et tenter de me faire cracher les détails de comment exactement j’ai réussi à me faufiler entre les jambes de Cruella, ce qui arrivera en temps et lieux. En attendant, on doit faire du sport. Ça va m’aider à étirer les muscles que j’ai trop échauffé en faisant sweet sweet love à Fields. Sweet love ma dick, ouais. Le cours prend fin et l’agglomération de putes et de cons se fait dans les couloirs. J’repère la petite clique de Malin et m’approche. Elles ont l’air de flipper, elles ont quoi merde ? Un balai coincé dans le cul ? J’les dévisage avant de retourner ma brunasse et de l’embrasser langoureusement pendant plusieurs instants, sans oublier de porter mes mains au galbe de ses fesses et de la soulever un peu pour prolonger l’action et histoire de bien me faire remarquer. « I like you better when you’re naked. » Que j’lui dis à l’oreille. Elle rougit à mort, premier malaise, toujours le meilleur. Ses pieds regagnent le sol et ses potes font vraiment de drôles de mines. Je m’en marre avant de faire un clin d’œil à Fields et d’me casser avec Lancaster et le reste de la bande. Des cris stridents de chiennes en chaleur se font entendre et diminuent au fur et à mesure que j’foute un pied devant l’autre. J’crois que j’viens d’officialiser mon début de relation avec la brunette. Dès lors, j’nous ai affiché publiquement partout et on a eu des réactions des plus bizarres. Mais les pires c’étaient celles de nos parents.

Malin est dans le salon avec Kyra à traficoter un mauvais coup – comme d’habitude – et j’suis sur le patio entrain de fumer un joint. Les parents sont pas encore arrivés, j’en profite. Des bruits de pas qui se dirigent vers moi et une voix qui semble être celle de ma mère. Je jette le joint et me dépêche de rentrer pour l’empêcher de sortir et de sentir l’odeur de la marijuana qui vient d’apprivoiser mes poumons. « Ryan, tu viens m’aider ? » J’peux pas dire non, si c’est le cas j’vais avoir droit à un sermon sur comment je suis sensé aider ma génitrice quand elle a besoin de moi et j’vais encore devoir faire semblant que ça m’intéresse pour qu’on me foute la paix. J’commence à l’aider, elle sort des trucs pour cuisiner, Malin et ma sœur débarquent. Je sens quelque chose de pas normal, et c’est pas seulement le fait que j’sois entrain de devenir high. « Maman, tu savais que Ryan et Malin étaient ensemble ? » Putain, Kyra va mourir étouffée dans son sommeil et pendue à sa lampe-ventilateur accrochée au plafond ce soir. Ma mère se met à rire et mon père débarque, c’est bon maintenant y’a vraiment de quoi nous faire honte. « Dur de pas les entendre même avec la porte fermée et les murs insonorisés, ma chérie. » Malin devient blanche, je suis paralysé, mon père et Kyra éclatent de rire. J’vais lui faire regretter son existence. Tout le monde le sait maintenant, j’crois qu’on dev… « J’espère au moins que vous vous protégez. » Non, parce que c’est bien mieux sans cette connerie de capote. « On va manger au restaurant. » J’tire Malin par l’épaule et on se casse en deux temps, trois mouvements. Ils risquent pas de me foutre la paix avant 10 ans et je risque pas de la foutre à Kyra avant 20, la Guerre est commencée.


Moment avec Kyra : annonce du départ pour New York City + premier joint de Kyra, son anniversaire de 18 ans.


Moment avec Connor : menace sur le fait de toucher Kyra, fête à laquelle Connor se fait emmerder et Ryan vient l'aider.


Rencontre avec Devyn : mariage + évolution du lien.




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PSEUDO/PRÉNOM → Mymz, oui. ◮ ÂGE → bande de curieux, 19 longues années de vie. ◮ PAYS → ô Canada. ◮ AVATAR → Alexander Skarsgard, merci. ◮ OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? → dans les chiottes. ◮ COMMENT TU LE TROUVES ? → moche, c'simple. ◮ PRÉSENCE → 919/7 ◮ QUELQUE CHOSE À AJOUTER ? → je.vous.baise. ◮ CRÉDIT → tumblr, qui d'autre ? ◮ L’ÉMOTICÔNE DE LA FIN → Levinstone ○ if you fuck me, I promise to be happy. 104719



Dernière édition par Ryan Levinstone le Mer 30 Nov - 4:48, édité 8 fois
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Ryan Levinstone

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